L'Antichambre
de
Jean-Claude Brisville
Mise en scène : Christian Baggen
Petit Théâtre Mercelis, rue Mercelis 13 à 1050 Ixelles
septembre - octobre 2011
À Paris, vers 1750…
Madame du Deffand tient salon, comme le veut alors l’usage, et reçoit chez elle savants, artistes et philosophes. Les hommes d’esprit ne s’y trompent pas. Ils se rendent à son jour pour y lire leurs derniers vers ou se frotter aux idées nouvelles. On y croise le tout-Paris des Lumières, qui discute avec feu des questions et théories en débat.
Lorsque Madame du Deffand accueille sa toute jeune nièce, Julie de Lespinasse, elle se fait un devoir de l’initier au rôle de ces femmes cultivées, intelligentes, qui désormais font ou défont les réputations : « La cour n’est plus qu’un soleil mort. C’est maintenant dans nos salons que le pouvoir – le vrai pouvoir – réside. »
Mais l’élève surpassera bientôt le maître. Échanges à fleurets mouchetés entre « le mouvement et la vie », qu’incarne Julie, et les valeurs sûres de la Régence, celles d’une Marie du Deffand qui sent poindre le déclin. Entre elles, le président Hénault joue du tact et de la diplomatie. « À moins que… je n’en jurerais pas… »
Avec : Marc Draime, Ingrid Gabriels et Monique Moricchi
Mise en scène : Christian Baggen assisté de Françoise Osteaux
Éclairages et régie : Roland Juncker
Maquillages : Patricia Timmermans
Musique : François Couperin
Costumes : Grenier aux Costumes de l’ABCD
Madame du Deffand tient salon, comme le veut alors l’usage, et reçoit chez elle savants, artistes et philosophes. Les hommes d’esprit ne s’y trompent pas. Ils se rendent à son jour pour y lire leurs derniers vers ou se frotter aux idées nouvelles. On y croise le tout-Paris des Lumières, qui discute avec feu des questions et théories en débat.
Lorsque Madame du Deffand accueille sa toute jeune nièce, Julie de Lespinasse, elle se fait un devoir de l’initier au rôle de ces femmes cultivées, intelligentes, qui désormais font ou défont les réputations : « La cour n’est plus qu’un soleil mort. C’est maintenant dans nos salons que le pouvoir – le vrai pouvoir – réside. »
Mais l’élève surpassera bientôt le maître. Échanges à fleurets mouchetés entre « le mouvement et la vie », qu’incarne Julie, et les valeurs sûres de la Régence, celles d’une Marie du Deffand qui sent poindre le déclin. Entre elles, le président Hénault joue du tact et de la diplomatie. « À moins que… je n’en jurerais pas… »
Avec : Marc Draime, Ingrid Gabriels et Monique Moricchi
Mise en scène : Christian Baggen assisté de Françoise Osteaux
Éclairages et régie : Roland Juncker
Maquillages : Patricia Timmermans
Musique : François Couperin
Costumes : Grenier aux Costumes de l’ABCD
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